Tula-Abla
Fi Olodumaré Tcho,
Ce nom trompe celui qui le porte.
Que Dieu le garde.
Je veux dire qu’il se garde lui-même.
Le voilà sur le palmier avec une corde en feuille de bananier.
Dieu le garde.
Mais il n’est pas prudent.
La corde se rompt et il se casse le cou.
Tula-Abla lui dit :
« C’était prédit, tu te casseras le cou.
Mais ton soignant aussi t’abandonnera à Dieu.
Il négligera les soins et tu mourras.
Tes éducateurs avaient fait la même chose.
Ils t’avaient laissé à ton nom.
Ils ont organisé ta chute. »